C’est la dernière ligne droite pour s’inscrire à notre grande réunion nationale, qui se tiendra le 15 février 2020 de 9h à 18h dans la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville de Paris.
Chers amis des Coquelicots, quelques mots sur le programme de la journée…
Sans la joie d’être ensemble, sans le plaisir de bagarrer ensemble, jamais le mouvement des Coquelicots n’aurait pris cette ampleur. Grâce à vous tous, l’essentielle question de l’empoisonnement par les pesticides est au coeur du débat national.
C’est formidable, mais nous avons désormais grand besoin de nous voir. Le 15 février, nous aurons un aperçu du travail mené par quelques-uns des groupes locaux, suivi d’échanges sur ce qui a été réussi, et sur ce qui a raté aussi.
Le maire de Langouët, Daniel Cueff, sera avec nous, et présentera un livre à paraître le 5 mars, Paysans on vous aime, protégez-nous, protégez-vous contre les pesticides. Et vous pourrez converser avec lui. On verra à quel point notre mouvement a été décisif dans l’émergence des arrêtés antipesticides.
Nous aurons aussi le vif plaisir d’accueillir le scientifique Pierre Rustin, qui a lancé l’alerte sur les SDHI. Grâce à vous tous, grâce aux colleurs d’affiches de France et de Navarre, cette question inconnue il y a si peu de mois est devenue brûlante, et ce n’est qu’un début, ainsi qu’on verra. Nous ferons dans la foulée un point sur une question terrible: celle des pesticides interdits en Europe, mais que la France produit sur son sol et exporte en Afrique. Pouvons-nous le tolérer?
Riss, directeur de Charlie, qui nous soutient depuis la première minute, sera présent également, en compagnie de la dessinatrice Coco.
Nous vous réservons aussi une surprise, avec des paysans porteurs d’une excellente nouvelle.
Toute la journée sera animée par Denis Cheissoux, de France Inter, en compagnie bien sûr de Fabrice Nicolino et du tout petit groupe national à l’origine du mouvement, qui vous sera présenté.
Enfin, l’on chantera. À table, le midi, et pour finir cette journée que nous souhaitons joyeuse, heureuse, studieuse, inoubliable peut-être.
PS: c’est nous qui régalerons à midi. Et si vous avez l’envie d’apporter une spécialité de vos campagnes, surtout – surtout! – n’hésitez pas une seconde! 😉
Dans l’arrière-cuisine de la réunion
Pourquoi Paris?
Depuis Nice, Brest, Lille ou bien Pau… Paris reste la cité la mieux desservie par les transports pour que chacun puisse venir, même dans la journée…
Sachez aussi que nous avons pendant des mois cherché en vain une salle à un prix raisonnable (le devis moyen tournant autour de 25.000 euros). In extremis, la ville de Paris -qui a dignement soutenu l’Appel au même titre que des dizaines d’autres municipalités de tous bords- a proposé sa salle des fêtes, à un tarif raisonnable. Nous avons donc accepté.
Pourquoi Google Form?
Parce qu’en tant que « non geek », c’est le formulaire qui nous a paru le plus facile d’usage. L’option « collecte des adresses », qui aurait permis à Google de récupérer vos courriels, n’a pas été activée.
Les frais de déplacement
Si chaque collectif est incité à s’organiser pour défrayer le déplacement du ou des participants à notre grande réunion, un soutien est envisageable pour les collectifs en manque de moyens.