24 mai: les deux batailles qui comptent seront unies

Nous voulons des coquelicots

Le mouvement des Coquelicots – 650 000 soutiens, 800 rassemblements mensuels simultanés – ne pouvait pas rester à l’écart du soulèvement pour le climat. Ou plutôt contre le dérèglement climatique planétaire.
L’affaire est pour nous évidente. Si même la bataille climatique était gagnée, aurions-nous envie de vivre dans un monde sans oiseaux ni papillons, sans éléphants ni gazelles ? Et si nous parvenions – on va y arriver, c’est sûr – à faire disparaître le poison des pesticides, pourrait-on supporter encore une planète dévastée par les sécheresses, les inondations, les ouragans ? Bien sûr que non.

Ces deux combats n’en font qu’un, et c’est pourquoi nous appelons tous les coquelicots de France et de Navarre à rejoindre les cortèges du 24 mai, avec la jeunesse française et de tant d’autres pays. Ce qui fait la différence, ce qui fera la différence, c’est l’unité des humains face à des menaces devenues globales. Nous n’avons plus confiance qu’en la société. Elle seule est capable de changer le cours des événements et créer l’espoir, sans lequel nous ne pourrons plus avancer.

Le 24 mai, les deux seules batailles qui comptent pour tous se rejoignent. Et c’est génial. Nous allons gagner, car nous n’avons pas le droit de perdre.

L’association Nous voulons des coquelicots

 

Un dialogue entre Greta Thunberg, cette jeune Suédoise qui a lancé le mouvement de la jeunesse pour le climat et Charlotte, 10 ans, qui s’interroge depuis la France. Pourra-t-elle, dans 30 ans, aller cueillir des coquelicots avec ses enfants…?

Merci au Collectifs Morts de Rire.