Les pesticides dans l'actualité

Contre les pesticides, ces maires se rebiffent

Plusieurs maires ont décidé d’instaurer des arrêtés, dont celle de Revest-des-Brousses dans les Alpes-de-Haute-Provence.

sur www.laprovence.com

À Mandeure, cet arrêté anti-pesticides qui ne fait pas (encore) de vagues

Plus d’un mois après son entrée en vigueur, la mesure n’a pas encore été attaquée par l’État. Mais si le maire n’a certes pas prononcé d’interdiction sur l’ensemble du territoire communal, il est fort à parier que l’affaire n’en restera pas là…

sur www.estrepublicain.fr

Un paysan bio se bat contre les exploitations « mangeuses de terres » qui ont racheté sa ferme

L’histoire de Bastien résonne comme un symbole : agriculteur depuis quinze ans dans le Finistère, il y a patiemment développé une agriculture bio, diversifiée, ancrée localement. Mais à cause d’un problème foncier, ses terres ont été rachetées par de grosses exploitations agricoles, dont l’une possède déjà plus de 1000 hectares ! Sur place, un mouvement de soutien s’organise. Un nouveau combat de David contre Goliath.

sur www.bastamag.net

Le maire de Langouët : «un paradoxe extraordinaire» au sommet de l’Etat sur les pesticides

« La préfète (…) aurait pu engager un simple recours sur le fond, ce qui nous aurait permis d’expérimenter pendant au moins quatre ou cinq mois cet arrêté dans un climat de paix civile et sociale. Nous aurions pu jouer les intercesseurs entre les habitants qui demandent plus de protection et les agriculteurs pour faire évoluer leurs pratiques sur cette zone de 150 mètres sans pesticides que prévoyait l’arrêté, dont l’intention n’était pas de supprimer totalement leur usage. Cette bande de 150 mètres n’en restait pas moins cultivable et on aurait pu travailler sur un projet intercommunal et expérimenter de nouvelles techniques. »

sur www.liberation.fr

Pour sauver les abeilles, ils vont (de nouveau) envoyer des graines gratuitement dans le monde

Des apiculteurs de Haute-Garonne vont envoyer des graines dans le monde entier pour sauver les abeilles. 73 000 sachets avaient été distribués lors de la précédente opération.

sur actu.fr

France Stratégie publie un rapport constatant l’accélération de l’artificialisation des sols.

L’artificialisation augmente d’environ 20 000 hectares par an. France Stratégie recommande d’ailleurs d' »imposer une obligation de densification » sur nos territoires pour réduire l’étalement urbain. Seulement les outils de pouvoirs publics aujourd’hui sont inadaptés. L’autre objectif, c’est une « renaturalisation« .

sur www.franceinter.fr

Disparition des abeilles : comment l’Europe a renoncé à enrayer leur déclin

Depuis l’introduction des insecticides néonicotinoïdes, il y a moins de trente ans, les trois quarts des populations d’insectes volants ont disparu. Cet été, l’Union européenne a renoncé à protéger rapidement ces pollinisateurs.

sur www.lemonde.fr

“ Le bio pour nourrir l’Europe ”

Qu’avez-vous à dire aux agriculteurs conventionnels ? «  Il faut tout d’abord éviter de les culpabiliser. Ils sont piégés dans un modèle économique et technique et on ne peut pas leur reprocher de chercher à gagner leur vie. Mais il est important qu’ils sachent qu’il y a d’autres manières de travailler. Il faut modifier les techniques agronomiques, pour redonner aux sols une capacité d’infiltration et de stockage de l’eau à travers une plus grande diversité de culture. Cela passe notamment par l’association élevage culture et par le maintien des haies. Il faut aussi jouer sur la sélection du maïs. « 

sur www.lanouvellerepublique.fr

Un second maire convoqué par la justice pour avoir limité l’utilisation des pesticides

La justice va examiner à Rouen un arrêté municipal limitant l’usage des pesticides à Saint-Eloi-de-Fourques (Eure). Une vingtaine de maires ont pris de tels arrêtés.

sur www.lexpress.fr

Cher : la chasse aux pesticides est ouverte

Ce retraité a également traité devant chez lui, aux abords d’un petit cours d’eau, c’est encore plus grave :  » J’aime bien que ce soit propre devant chez moi et quand je vois ces mauvaises herbes, ça ne l’est pas. C’est peut-être bon pour les papillons, mais moi, ça ne me plait pas. Mais je ne traite pas quand y’a de l’eau qui coule. » Les résidus de pesticides sont aujourd’hui partout : dans l’eau, mais aussi l’alimentation et dans notre corps.

sur www.francebleu.fr

« Pierre, c’était comment avant les pesticides ? »

« Les fleurs des champs, il y en avait partout, à foison, les blés étaient magnifiques, avec les coquelicots, les bleuets, les marguerites qui y poussaient », se souvient l’octogénaire, « il y en avait de toutes sortes, dans les talus, dans les prés, les bois, et en toutes saisons. Gamins, nous allions pêcher les truites à mains nues. Elles se cachaient dans les longues herbes. Nos mères nous préparaient les vairons en friture que nous rapportions en quantité. Les grenouilles, les libellules (les « Monsieurs » qu’on les appelait), les sauterelles, les criquets, ça grouillait de partout. »

sur www.estrepublicain.fr

Soutien au Maire de Revest des Brousses (04150) dans son combat contre les pesticides

Brigitte Reynaud, Maire de Revest des Brousses (04150) et vice-présidente du Conseil Départemental des Alpes de Haute Provence, s’est engagée en tant que soutien du mouvement « Nous Voulons des Coquelicots » dès la création de ce mouvement en septembre 2018. Ce mouvement demande l’interdiction des pesticides de synthèse.

sur www.mesopinions.com

Avessac. Le Collectif sans pesticide appelle à l’action

Les membres de Nous voulons des coquelicots dénoncent l’inaction des huit communes membres du Siaep.

sur www.ouest-france.fr

Agon-Coutainville. Les anti-pesticides manifestent sur la digue

« On en trouve partout dans notre assiette, dans la pluie, dans le miel des abeilles et bien plus encore. Les pesticides sont dangereux pour la santé, ils provoquent des cancers, des troubles chez les enfants, des malformations », rappelle Marie-Claude, une des militantes. Durant l’été, le mouvement a choisi pour son rassemblement mensuel, de se délocaliser pour essayer de toucher « des personnes que nous ne rencontrons pas habituellement » .

sur www.ouest-france.fr

Nos champs, labos à pesticides à ciel ouvert

Le maïs ne pousse plus, les choux fanent, les mains brûlent… Quelle est la raison ? Pour cet habitant de Mespuits, il est victime des expérimentations réalisées dans le champ en face de son jardin. « Cela fait deux ans que le fils a repris les parcelles. Il travaille avec une société qui fait des expériences de produits phytosanitaires. Je n’avais aucun problème avant ».

sur www.le-republicain.fr